A l’appel de toutes les organisations syndicales

Un budget austéritaire fragilise toujours davantage les plus précaires.
Les femmes étant majoritaires au sein du précariat, elles sont en première
ligne des coupes budgétaires mises en œuvre par les gouvernements
qui se succèdent et… se ressemblent.

Les premiers ministres valsent mais restent toujours les velléités de faire des économies sur
le dos des moins bien loti.e.s parmi les salarié.e.s, les retraité.e.s et les privé.e.s d’emploi.

Les femmes en ont assez de trinquer ! Toutes et tous, nous devons agir
pour imposer des mesures de justice et de progrès.
Ce qu’il nous faut : dégager des ressources pour nos services publics et
pour l’égalité ! Les plus riches et les grandes entreprises doivent payer.

Les femmes sont globalement dans une situation de plus grande précarité
que les hommes : temps partiels, bas salaires, petites retraites, chômage
et sous-emploi les frappent davantage. Elles sont aussi plus nombreuses
parmi les allocataires des minimas sociaux et les personnes en ALD (affections
de longue durée) et parmi les parents en situation de monoparentalité.
Donc, automatiquement, elles sont davantage impactées par toutes
les mesures austéritaires comme le gel ou la baisse des allocations et des
pensions de retraite, le durcissement des droits au chômage ou encore
par l’augmentation des franchises médicales.

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