Au fil des années, l’expansion de l’agro-industrie et l’utilisation intensive de pesticides et d’autres produits chimiques ont eu de graves effets sur la santé des femmes rurales qui, en raison de leurs relations étroites avec la terre et les activités agricoles, sont exposées à des niveaux alarmants de toxicité. Cela impacte leur corps, leurs communautés, leur rapport au soin mais aussi leur lien avec la nature. 

·                 Quels sont les impacts des pesticides d’un point de vue féministe et intersectionnel, au niveau individuel et collectif, sur les travailleuses et les riveraines, particulièrement en Equateur et en Amérique Latine ?

·                 Quelle est la relation entre les substances toxiques et la crise de du travail du soin en milieu rural ?

·                 Quels chemins prendre via des politiques publiques et des actions communautaires pour détoxifier les territoires et améliorer la qualité de vie des femmes rurales affectées par ces agrotoxiques ? 

Action Aid France organise un webinaire présentant la recherche « Impact des substances toxiques sur les femmes rurales et leurs territoires : une analyse du point de vue du corps-territoire et de la justice de genre », menée en Équateur par FIAN Ecuador et Red de Mujeres Rurales del Ecuador.   

L’étude propose une discussion sur la justice environnementale et la violence structurelle à laquelle sont confrontées les femmes dans les zones rurales de l’Équateur et d’Amérique latine. 

📆 Quand : 2 juillet, 10h00 (en Équateur) et 17h00 CEST  
 Inscrivez-vous ici   
📢 Langues : Espagnol, Anglais et Français  

Pannel :  

·                 Stephanie A. Vinueza and Alexander Naranjo, FIAN Ecuador

·                 Laura Zarama, Clinique des Droits Humains de Miami

·                 Raquel Silva, Red de Mujeres Rurales del Ecuador

·                 Ana Maria Suarez and Sybille Dirren, FIAN International 

·                 Chloé Rousset, ActionAid France 

·                 Marcos Orellana, Rapporteur Spécial des Nations Unis sur les substances toxiques et les droits humains